M. Delpla, qui ne cesse sur ce forum de déblatérer contre moi et mon travail, qui pratique en permanence à mon encontre la stratégie du soupçon, qui met systématiquement en doute mon honneteté intellectuelle, qui débine à tout va ma méthode, qui m'assimile sans vergogne à Vergès et Chauvy, qui trafique mes dires sans se gêner pour appuyer ses allégations, voudrait, par dessus le marché avoir avec moi un "débat digne de ce nom". S'il en était digne, il l'aurait.
En attendant, et puisqu'il s'est targué d'être allé jusqu'à Londres vérifier des sources, notamment les miennes (peut-être les débriefings anglais des Aubrac?) , pendant quelques jours (moi, j'y ai passé 3 mois), je lui suggère de se procurer l'article du Dauphiné libéré. Il pourra ainsi vérifier mes citations et constater que j'ai reproduit ici correctement tout ce qui était important et signifiant dans ce court article. Ainsi lui sera donné l'occasion de faire, lui aussi, un "mea culpa". Dois-je ajouter que je ne me fais aucune illusion car lorsqu'on s'est permis de publier à ce sujet un "démenti" sans savoir de quoi l'on parlait et que l'on s'est aussitôt fait prendre la main dans le pot de confiture, et que, maintenant, on ergote pour s'en sortir en laissant supposer une nouvelle malversation de l'infâme Baynac tout en parlant - de quel droit ? - au nom de Mme Aubrac, il est dur de faire marche arrière.
Sur le fond, j'attends toujours que l'on m'oppose une seule preuve de la culpabilité de Hardy dans l'affaire de Caluire, une preuve écrite ou matérielle, s'entend, pas des ragots, des bobards ou des supputations de telle ou tel. |