Quel souffle dites-moi !
Je serai plus sec : vous confirmez implicitement que votre procédé consistant à appeler à la rescousse, pour réhabiliter Hardy, un texte attribué à Lucie Aubrac, et contraire à toutes ses autres affirmations, est tiré par les cheveux. En effet, vous ne répondez rien à l'affirmation que ce texte jure avec tout le reste, sinon par l'affirmation, inexacte, que je m'arrogeerais le droit de parler au nom de l'auteure, alors que j'exprime seulement ce que je crois connaître de ses positions, on ne peut plus publiques.
Ledit texte est court, dites-vous, et vous ne daignez pas le citer entièrement. Dommage. Je le lirai volontiers quand je l'aurai sous les yeux, je m'enquerrai de sa genèse dès que j'en aurai l'occasion et nous verrons bien.
La durée des séjours à Londres ne fait rien à l'affaire; leur date importe davantage, puique les archives du SOE (bis repetita) sont en pleine déclassification -dernière vague : fin 2006. Il semble que le vôtre, de séjour, date un peu. Nous en reparlerons à l'occasion et, j'espère, de façon constructive.
Je ne vous ai traité ni de, ni en, infâme. J'argumente toujours sur les faits, jamais sur les personnes et, ce forum ayant le mérite de conserver ses archives, vous pouvez le vérifier, y compris en prenant connaissance de débats où on me donnait le mauvais exemple.
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