Loin de moi l'intention de procéder à des manipulations factuelles éhontées.
Désolé de ne pas adhérer à la vénération du grand homme.
J'ai déjà répertorié dans mes messages précédents les faits qui établissent les limites d'un personnage que trop de Français, par un incompréhensible masochisme germanolâtre, ont encore tendance à vénérer.

Il ne me semble pas que des Prussiens vénéraient particulièrement Napoléon, 60 ans aprés Iéna.

Il apparait quand même que le Führer a été beaucoup plus performant contre Dollfuss, Hacha, Benes, et tous les dirigeants de pays MOYENS d'Europe.
Son sens politique s'est arrêté là, et il a accueilli avec des ricanements supérieurs les messages de Roosevelt, et a cru également voir en Chambelain le déclin de l'empire britannique.
Pour Daladier et Reynaud, la question ne s'est même pas posée. Depuis 1934, et les scènes de panique filmées lors de l'attentat contre le roi de Yougoslavie, il était arrivé à la conclusion que les Français n'étaient plus qu'un peuple de couards, qui serait facile à battre.