la note de Baudouin, que je venais moi aussi de relire dans Aron en raison de cette discussion, me laisse bien perplexe dans la mesure où l'auteur (Aron) ne semble pas envisager une seconde que Baudouin puisse avoir écrit ou réécrit pas mal de choses une fois le résultat de la guerre connu.
Elle s'ajuste un peu trop bien à sa défense d'après guerre pour être honnête. Surtout, peut-être, elle jure avec l'ambiance de septembre 40, juste après Dakar (ou même pendant) : un moment où Vichy attend beaucoup du Reich et où son ministre des AE ne saurait lui écrire que pour lui cirer les bottes. |