-la lettre de 1943 de Ménétrel aux Allemands, unique en son genre, est de celles qu'on envoie quand on est suspect de sentiments inverses. Pour prendre un exemple très actuel, un type qui trouve casse-cou l'intransigeance de Sarkozy sur les retraites mais tient à rester ministre pour, pense-t-il, recoller les pots cassés, commencera toute lettre au président par un accord total sur les retraites. Malheur à l'étudiant qui s'en servirait plus tard pour démontrer les idées sociales du lascar ! Et que dire s'il prétend illuminer celles d'un familier dudit !!
-les proses après coup d'Auphan : c'est la manière bien spéciale d'un catho intégriste de monter au feu pour Pétain à la fin des années 40. Pétain regrettait la trop grande sévérité de son statut... et puis d'abord les Juifs ont un problème avec Jésus, qu'est-ce que ça serait plus simple s'ils se convertissaient ! Là il tire un peu voire beaucoup la couverture Pétain vers sa propre idéologie.
Francis, tu racles les fonds de tiroir ! Et n'y trouves aucune menue monnaie pour payer tes deux grosses dettes :
-un recoupement permettant d'être sûr que le statut est adopté en conseil des ministres le 3, et non le 2 ou le 4;
-une preuve qu'il a pour tout ressort celui longtemps comprimé de l'antisémitisme français, sans rapport aucun avec l'occupation du pays par,
et la discussion quotidienne du bout de gras avec,
le pays le plus sauvagement antisémite de l'histoire. |