> Je pense qu'il vaut mieux arrêter-là ce débat qui ne
> peut être que stérile.

Aucun débat n'est stérile. Il y a toujours une leçon à en tirer.



> Ici, comme en politique, débattre n'a d'intérêt, pour
> moi, que si l'on a un espoir raisonnable de convaincre.
> J'ai toujours refuser d'engager ce type d'action avec
> les intégristes et dogmatiques de tous ordres.

Je ne considère pas que le débat doit nécessairement convaincre le contradicteur, mais le lectorat, lequel sera amené à se forger sa propre opinion au regard des arguments échangés. Idem en politique : Nicolas Sarkozy ne cherche pas à convaincre Ségolène Royal, mais l'électeur.

Je pense que tu refuses le débat parce que tu sais que ton dossier ne tient pas debout. La preuve ? Cite-moi un élément, et un seul, de nature à prouver, que l'entier acte d'accusation contre René Hardy est frauduleux.



> Pour moi, et je ne suis pas le seul, tes arguments sont
> irrecevables et ne prouvent en rien la culpabilité de
> Hardy.

Pourquoi ?

C'est là le mérite du débat, que tu refuses : expliciter des affirmations.



> Tant qu'il n'y a pas de "fait nouveau" - et il
> n'y en aura pas - ce n'est plus la peine d'en parler.

Il n'y a donc aucun fait nouveau. Merci pour ton aveu.



> Le "coupable" Hardy a été fabriqué de toutes pièces,
> c'est tout.

Prouve-le.



> Quant aux autres suspects de Caluire, nous savons
> parfaitement, toi et moi, de qui je veux parler.

Il ne s'agit pas simplement de toi et moi, mais des autres contributeurs. Il faut avoir le courage de ses opinions.

Nomme tes suspects, et démontre la trahison. Tu as la parole. A toi.



> Et, s'il te plaît, n'utilise pas la tactique delplaïenne
> qui consiste à dire que celui qui se retire du débat
> donne forcément raison à l'autre...

Laisse F.D. en dehors de ça. Jacques Baynac n'avait aucune autre raison de se retirer du débat. Si vraiment il manquait de temps, pourquoi s'est-il inscrit sur ce forum ?

Jacques Baynac est parti parce qu'il savait que son argumentation ne tiendrait pas face à un examen critique, même minimal - et le mien était minimal. Je n'ose imaginer le sort que lui réservera Daniel Cordier. ;-)