Curieux que les détails insoutenables, comme l'inondation du métro de Berlin, n'aient pas été évoqués, pas plus que les derniers propos du funeste Adolf, se félicitant d'avoir brisé les reins de la France.
Ce film est tiré du gros livre de Joachim C. Fest, ouvrage de valeur, mais un peu ancien et qui ne prend pas en compte les archives récemment révélées.
Et surtout, une impression de "déjà vu", à la séquence de la fin. La valeureuse secrétaire du Führer, s'éloignant, altière et fière, traversant la populace troupière soviétique, tête haute, et sans dommage, guidée par un magnifique petit aryen au pur regard d'azur.
Ca ne vous rappelle rien?
La séquence finale d'ALAMO! Les héros sont morts, une pure vestale, seule survivante, guidée par un enfant, symbole d'avenir, s'éloigne, porteuse du message, pour les générations futures.
On en rajoute encore un zeste avec la séquence du vélo trouvé, qui s'apparente au générique du "Vieux fusil", pour la séquence émotion.
C'est avec les restes qu'on fait des plats savoureux! |