après avoir justifié l'interdiction de fait d'une contre-expertise par une "instruction" imaginaire, voilà que tu donnes quitus aux autorités britanniques (gouvernementales et archivistiques confondues) d'avoir fait des communiqués disant qu'une enquête était en cours, et aucun pour dire qu'elle était close (mais peut-être as-tu obtenu des informations particulières !).
Mais dis-moi, dans ces conditions, il serait peut-être temps de remettre les pièces litigieuses à la disposition de gens qui pourraient vérifier la validité de l'expertise unique ! et regarder de plus près le télégramme signé "Thomas" sur lequel aucun truquage n'a pu être dépisté par Mme Giles.
Ces gens pourraient essayer de savoir pourquoi les fraudeurs auraient glissé dans les archives deux faux grossiers et un autre, parfaitement imité.
Quant à toi, j'aimerais que tu m'expliques comment on peut glisser ainsi un faux sans laisser son nom... ou bien, si on a laissé son nom, en déjouant les questions de Scotland Yard sur les raisons pour lesquelles on a consulté le carton en question. |