Dans son livre "La grande débacle" (1985), consacré au refugiés allemands du front de l'Est, Jacques de Launay consacre un chapitre au bombardement de Dresde.
L'auteur reprend les theses de Irving et ecrit, je cite : "Ce crime contre l'humanité n'avait aucune excuse".
Se tromper dans le nombre de victimes, et nier les objectifs strategiques du bombardement, est une chose, mais parler de "crime contre l'humanité", en est une autre .
De plus, j'avoue de pas bien saisir le sens de ce propos :
"Au moment où l'Union europeenne est à l'ordre du jour, il est bon de se souvenir que les interlocuteurs doivent accepter tacitement de ne pas rouvrir le dossier des camps de concentration allemands (7 000 000 d'internés alliés dont un quart etaient des resistants), et celui des victimes civiles allemandes des bombardements (635 000)."
Ou non ! Peut-etre l'ai-je bien compris.
Je commence a partager ton effaremment, Francis.
Bonne lecture, |