le Brigadier Masson croyait encore au risque d'invasion de 1943 ?
Je vois là une incohérence dans l'analyse que vous faites. Ne vous frappe t elle pas ?
Si le cas semble clair à qqn d'aussi concentré et bien documenté que vous sur les étapes et documents suisses, alors pourquoi un Masson, francophile, élève du général Giraud à l'école de guerre a t il couvert son chef le général Guisan pour son "non respect de la neutralité au profit des français" mais n'a pas hésité à tendre un piège à ce même Giraud. N'est ce pas parce que la faute de son supérieur couvrait la sienne au profit des nazis (passeports pour Eggen interdit de séjour, voyages interdits en Allemagne, amitié avec schellenberg, mais interdiciton des réfugiés allemands en Suisse à la fin de la guerre (avec, certes, quelques exceptions)
NARA, Military Agency Records Part 2- Interallied and Interservice Military Agencies Records - Records of the Office of Strategic Services (RG 226)
Records of the Research and Analysis Branch:
15523: Report concerning several connections which General W. Schellenberg had in Switzerland, specifically those involving the Swiss Army, police, and intelligence officers, as well as with "an American representative in Switzerland by name of Dulles." 2 pp. July 1945; see also XL 46527 Meeting in 1944 between Schellenberg and Swiss General Guisan and Colonel Roger Masson. 2 pp. March 1946;
XL 48910 The Swiss Federal Council's March 8, 1946 communique concerning the investigation of the relations of Masson, former chief of the Swiss Army Intelligence Service, to Schellenberg. 13 pp. Mar. 1946;
XL 49823 Report from Bern, Switzerland, of the contacts of Masson with Schellenberg. 3 pp. March 1946. |