"Il est facile à Larminat qui n'était plus en France de faire le dégoûté mais je voudrais voir sa tête si la Gestapo était venue le chercher, lui, sa femme et ses enfants pour les arrêter au petit matin."
Facile ?
"
La décision à prendre est grosse de conséquences séparation des siens, exil du pays natal, perte de la nationalité, exécution en cas de capture, service dans une armée étrangère."
Et Jean-François Muracciole nous dit que 12,4% des Français Libres de 1940 sont morts.
Et de Larminat a montré son courage jusqu'au bout il me semble.
Quand aux femmes et aux enfants vous semblez parfois ne pas en faire grand cas quand votre but n'est visiblement que la propagation de fadaises concernant ceux qui les mettaient dans des trains vers une destination qu'ils prétendaient ne pas connaitre.
Le reste de vos propos délirants montrent encore une fois que vous pensez que la rivalité Pétain / de Gaulle était une rivalité de personne. Or c'était une rivalité de systèmes. Dictature contre république et démocratie. Et qu'importe ce qu'aurait pu être les arrières pensées de tel ou tel, que vous ne connaissez évidemment pas. Ce qui importe ce sont les faits et ce qui a fait que des hommes ont lutté. Ce sont les paroles que l'on prononce au grand jour qui importent parce que ce sont elles qui emportent l'adhésion. Et ce sont les actes qui comptent parce que ce sont eux qui permettent de conserver cette adhésion.