Je ne vais pas continuer plus longtemps à perdre mon temps avec vos pathétiques justifications.
Pour établir une fois pour toutes que vous écrivez ici à peu près n'importe quoi, un seul exemple. Dans votre avant-dernier paragraphe vous affirmez que, pour justifier ma thèse de l'"intox Carte", j'ai sorti de son contexte la phrase clé de Bodington, celle qui résume en fait toute l'affaire Carte, phrase citée p. 304 de votre inestimable travail : "Même s'il y avait du vrai (dans ce que disait Carte), son histoire de réseau géant n'avait aucune utilité pratique". Et, sans hésiter, vous expliquez alors : "Bodington, fortement compromis dans l'affaire, avance ces propos ALORS QUE GIRARD EST A LONDRES pour y soutenir sa vision d'une organisation tentaculaire qui, EN MAI 1943, n'entre plus dans les plans anglais."
Or, petit problème : si Bodington a tenu ce propos en 43 pourquoi sourçez-vous donc sa phrase dans votre livre, p. 304, note 30 (à lire p. 370) : "AN 72 AJ 41, témoignage de Nicholas Bodington recueilli par Mlle Patrimonio, 4 avril 1947."
Alors, c'est toujours à Londres, en mai 43, que Bodington a fait cette déclaration à l'une des enquêtrices émérites du Comité d'histoire pour la Seconde Guerre Mondiale, créé et dirigé par Henri Michel ?
Comme vous le dites si bien, "là encore, vous faites plus que flirter avec l'anachronisme."
Le reste étant de la même farine, et puisque vous avez estimé, dans un message précédent, que vos lecteurs rectifieront d'eux-mêmes vos bourdes, permettez-moi de vous souhaitez bons flirts et de vous dire adieu, Monsieur Rabino.
Jacques Baynac |