***François Delpla tire profit d'un léger raccourci commis par Laurent Joly pour faire dire n'importe quoi à ce dernier***
Pour un raccourci, en voilà un magnifique ! Et léger, certes non, en aucun sens de l'adjectif.
L'auteur d'un livre écrit une bêtise, par une lecture trop rapide d'un de ses confrères. Dommage que l'hostilité à un internaute ait fait retenir à Nicolas ce seul passage pour illustrer son propos, linguistiquement étrange, suivant lequel l'ouvrage était "plus qu'essentiel". Nicolas, penseriez-vous, va avoir à coeur de se rattraper et de nous parler au plus vite de passages plus réussis.
Mais tout se passe comme si Joly, il s'en fichait, et comme s'il ne l'avait porté aux nues que pour mieux baver sur sa proie : l'historien dont Joly a présenté une hypothèse comme fantaisiste dans la hâte de cette demi-note approximative... en lui opposant une autre hypothèse, spéculative et d'ailleurs nullement incompatible.
Eh bien non. On n'élargira pas le débat. On forera jusqu'au trognon ce petit épisode (je me demande si Joly apprécierait, sans doute croise-t-il heureusement loin de ces parages) et pour commencer on fait à sa victime grief de se défendre, en tirant parti d'une bourde que pour la circonstance on rebaptise "raccourci".
Ah qu'en termes galants ces choses-là sont mises !
Rassurez-vous, il restera toujours un argument en béton pour mettre l'adversaire en cause : la gestion de son propre site. Une histoire de notre temps, peu démonstrative de ce qui s'est ou non passé il y a six décennies, mais que ne va-t-on pas chercher pour essayer de démolir quelqu'un ? |