Sur cette page, François Delpla prétend que je serai un vil terroriste intellectuel applaudissant au blocage de la recherche historique :
Calomnie, certes, mais qui m'a poussé à produire ce message, le 8 juin 2006 :
"Etant donné que mes messages sont pratiquement tous censurés sur ce forum, je vois mal comment je pourrais débattre de ces questions avec vous. Je vous répondrai donc lorsque vous m’aurez assuré que *tous* mes messages seront publiés sur votre forum, sans la moindre censure de votre part. D’avance, merci."
Requête tout à fait légitime, sur un tel forum où toute contestation des thèses delplaïques est interdite. Après tout, François Delpla ne se revendique-t-il pas - hypocritement certes - en défenseur de la liberté d'expression et du libre débat ?
Toujours est-il qu'il rétorque, le 9 juin 2006 :
"De mon côté, pas de merci d’avance, mais un double merci au comptant : - pour avoir informé les visiteurs que les nombreuses proses signées de toi sur cet espace ne sont qu’une toute petite partie de ce dont tu as prétendu l’inonder ; - pour avoir annoncé ton approbation définitive de la destruction d’un gros travail de recherche historique au nom d’un détail sans importance."
Il est facile d'y lire que ma requête est rejetée sans autre forme de procès. En revanche, je vois mal dans mon message précédent où j'aurais annoncé mon
"approbation définitive de la destruction d’un gros travail de recherche historique au nom d’un détail sans importance." J'ai au contraire explicitement signalé que ma réponse aux questions posées ne serait publiée qu'à la condition qu'un terme serait mis à la politique delplaïque de censure en son forum. Tant il est vrai que M. Delpla aime déformer les propos d'autrui, et sauter aux conclusions.
Voici ce que j'ai répondu :
"Cessez donc de me faire dire ce que je n’ai jamais écrit, et cessez de sauter aux conclusions.
Seule une petite partie de mes messages n’a pas été effacée sur votre site. Les autres, très nombreux, ont été tout simplement interdits de diffusion - notamment ceux pourvus de notes de référence.
Vous allez jusqu’à prohiber toute contestation de vos thèses, en prohibant l’usage des termes "assez inexact" à l’encontre de vos affirmations !
C’est pourquoi, je vois mal comment je pourrais débattre avec vous des questions posées dans le cadre de ce fil, si je n’obtiens pas de votre part l’assurance que mes messages ne seront pas censurés - et notamment pas celui que je m’apprête à poster, et qui a *déjà* fait l’objet d’une censure de votre part !
Ma réponse sur "l’affaire Reynaud" est déjà tapée. Toutefois, il n’est pas question pour moi de la poster sans garantie, de votre part, que l’ère de la censure prendra fin sur vos espaces, et que mes messages ne seront plus effacés.
La censure n’est pas une arme de débat, François. Ce n’est pas en effaçant mes messages que vous les réfuterez. Bien au contraire.
Vous vous revendiquez partisan du libre débat, et de la liberté d’expression. Assumez donc vos positions. Si mes messages étaient à ce point injurieux ou ridicules, si donc ils se réfutent d’eux-mêmes, qu’avez-vous à perdre à les laisser paraître ? Et pourquoi ne pas laisser au lecteur le soin de se constituer sa propre opinion ? De quoi avez-vous donc peur ?"
Ce message n'a rien d'injurieux, rien d'obscène, rien d'illégal. En ce sens, il est à l'image de mes nombreux messages déjà censurés par M. Delpla.
Et pourtant, M. Delpla le censure. Je le reposte périodiquement, mais le "modérateur" l'efface tout aussi fréquemment.
M. Delpla a bel et bien ressuscité la
Pravda... Plus fort que Jésus Christ !