J'ai du mal à comprendre ce tir de barrage vis-à-vis de Barbier qui a fait le travail normal d'un historien de la Résistance au XXIeme siècle. Ses prédécesseurs (qu'ils ne dénigre pas) se devaient d'interroger les témoins avant qu'ils ne disparaissent. Il revient maintenant aux historiens de faire parler les archives. Témoignages et archives convergent vers la même réalité. Les deux doivent être critiqués, mais l'énorme avantage d'une archive de 1944 est de n'avoir pas bougé.

Barbier écrit dans l'introduction avoir découvert de nouvelles archives en 1987 - Est-ce faux ? et avoir exploité après 2004 les archives libéralisées; Est-ce faux ?

Il ne sous-estime pas les bombardements (p.240-241) et s'étend longuement sur l'emploi du mot "se cacher" qui n'est pas déshonorant pour un maquisard sans arme.

Emmanuel