La discrétion fut indispensable de Boisbouvier le lundi 01 mars 2010 à 10h41
Comment ça, "pourquoi discrètement" ?
A partir du moment où Vichy avait dû consentir à la déportation des juifs étrangers résidant sur son sol pour obtenir la renonciation des Allemands à déporter les Juifs français, il ne pouvait trahir ouvertement son engagement, sauf à risquer la remise en cause de l'accord du 2 juillet.
"Que craignaient-ils ?"
Mais cette remise en cause justement !