Le livre de Reinhardt Doerries cite est en fait la transcription du rapport de synthese de Harrisson sur les interrogations de schellenberg avec les annexes et il contredit "la Fin" de Bernadotte sur quelques points notamment celui que vous evoquez. Il n'est pas plus fiable pour autant car schellenberg a obtenu des allies qu'ils passent sous silence ou "re-eclairent" certains faits et lui-meme ne leur a pas forcement dit la verite. Les affirmations des anglais selon lequel schellenberg etait d'une intelligence mediocre etaient en fait une facon de masquer les incoherences qu'ils avaient introduit pour le proteger. Il semble toutefois que la partie finale, tres detaillee et tres documentee soit moins traffiquee que le reste.
Je vous engage a le lire
Par ailleurs, votre approche trouve credit dans ce qui suit :
Neurologist De Crinis diagnosed Hitler’s Parkinson in Early 1945 and informed Himmler. Highest ranked of the SS, Schellenberg, de Crinis and Himmler decided to give Hitler a special antiparkinsonian concoction, although there was no special antiparkinsonian treatment known at that time. But Hitler’s personal physician Stumfenegger became suspicious and refused to administer it.
www.acta-clinica.kbsm.hr/Acta%202003/N1/02-2003.pdf |