La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
- | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
|
Dans ce texte : Rapport d'interrogation de schellenberg de Etienne Lorenceau le dimanche 16 juillet 2006 à 21h08Le livre de Reinhardt Doerries cite est en fait la transcription du rapport de synthese de Harrisson sur les interrogations de schellenberg avec les annexes et il contredit "la Fin" de Bernadotte sur quelques points notamment celui que vous evoquez. Il n'est pas plus fiable pour autant car schellenberg a obtenu des allies qu'ils passent sous silence ou "re-eclairent" certains faits et lui-meme ne leur a pas forcement dit la verite. Les affirmations des anglais selon lequel schellenberg etait d'une intelligence mediocre etaient en fait une facon de masquer les incoherences qu'ils avaient introduit pour le proteger. Il semble toutefois que la partie finale, tres detaillee et tres documentee soit moins traffiquee que le reste.
Je vous engage a le lire
Par ailleurs, votre approche trouve credit dans ce qui suit :
Neurologist De Crinis diagnosed Hitler’s Parkinson in Early 1945 and informed Himmler. Highest ranked of the SS, Schellenberg, de Crinis and Himmler decided to give Hitler a special antiparkinsonian concoction, although there was no special antiparkinsonian treatment known at that time. But Hitler’s personal physician Stumfenegger became suspicious and refused to administer it.
www.acta-clinica.kbsm.hr/Acta%202003/N1/02-2003.pdf *** / *** |
|