En répondant au dernier tiers de mon post
Il est vrai qu'en attribuant la faute entière à Zidane, vous suggérez que vous tenez pour nulle la violence, quand elle est verbale.
ceci
En correctionnelle, jamais des insultes verbales n'ont justifié le passage à l'acte de l'agression physique.
agrémenté de cela
Circonstance aggravante, quand on a la charge d'une image emblématique (...),
vous montrez bien votre partialité : sans rien "justifier", il me semble qu'un tribunal neutre considérera la violence verbale comme une circonstance atténuante, sauf à mettre sur le même plan un cas de ce genre et une agression qu'aucune provocation ne précède.
Mais pour vous, dans le cas de Zidane, il ne saurait y en avoir que d'aggravantes. |