J'aimerais bien croire tout cela. Mais une certaine façon de mettre en cause la personne au-delà du propos (et souvent même en-deçà !) me rend dubitatif.
C'est pourtant simple. Il s'agit de démonter un discours de mauvaise foi. Ce qui suppose, d'une part de rappeler les faits historiques, d'autre part d'exposer le mécanisme du discours.
Mais basta : je propose qu'on en revienne justement à la rigueur la plus rigoureuse, en limitant tout débat à son objet et cet objet à l'histoire, excepté, précisément, celle de nos débats. Oui ou non, tel personnage a-t-il fait telle chose ? Dans quelle mesure est-ce sûr, douteux, exclu ? point-barre.
Tsss... N'espérez donc pas échapper aux reproches touchant à certaines dérives de votre méthodologie. Lorsqu'il est question d'Histoire, il est également question d'historiens.
Je note, au passage, que vous ne vous êtes pas privé d'émettre plusieurs piques personnelles et reproches méthodologiques à l'attention d'un Gérard Chauvy - lequel, il est vrai, les méritait tout à fait (par ex. et au hasard : "Chauvy-Rouletabille"). Et dès que l'on examine d'un peu plus près vos propres lacunes, il faudrait cesser d'en causer ?
Là encore, c'est contradictoire. |