Je ne sais pas pourquoi, mais ce mot associé à la guerre en Syrie m'a fait pensé à John Hasey l'un de rares américains (et peut être le seul) qui se soit engagé dans la France Libre.

Susan Travers écrit :

Au court de cet été brûlant et sec, plus de quatre mille hommes furent tués ou blessés, dont certains que je conaissais bien. Le capitaine Jean Simon, que j'avais connu sur le Neutralia, fut tyouché à la tête dans le jardin de Damas et il perdit son oeil droit. Tandis que je le transportais à l'hopital de la base il me dit :
- Honnêtement la Miss, ai-je l'air si effrayant que cela ?
Je souris,
- Pas du tout. Vous serez terriblement séduisant avec un bandeau sur l'oeil.
Pire encore, John Hasey fut touché au visage et à la poitrine par quatre salves de mitrailleuse. Il eut la mâchoire et le larynx arraché. C'était le premier américain de la guerre à être blessé au nom de la France et le général de Gaulle le fit Compagnon de la Légion [sic]

Amicalement
Jacques