Pour quoi monter à Glières, d'après Rickard - Le maquis de Glières - forum "Livres de guerre"
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La description du livre

Le maquis de Glières / Claude Barbier

En réponse à -3 -2
-1Petite pierre dans le jardin des Combattants des Glières de Ph Guliana

Pour quoi monter à Glières, d'après Rickard de Emmanuel de Chambost le lundi 11 août 2014 à 11h14

Où l'on voit que le journaliste, ancien sous-préfet-résistant, adopte, sans vraiment le discuter, en 1986 le point de vue qui sera celui de Barbier en 2012-2014, point de vue bizarrement contesté par certains sur ce forum dés lors qu'il est énoncé par Barbier.

Citation p.241-242
**********************************
A l'origine des Glières, il y eut d'abord l'annonce d'un grand parachutage.
« J'ai désigné mon adjoint Tom Morel, écrit Romans-Petit, pour commander un détachement d'une centaine d'hommes avec pour mission de résider sur place afin de recevoir et d'acheminer n'importe quand, sans délai, les containers vers les centres ».
Les effectifs d'une compagnie paraissent alors nécessaires mais suffisants pour assurer le succès de l'opération si ardemment réclamée par Jean Rosenthal (Cantinier).
Le lieutenant Jourdan, responsable, avec Métral, de l'école des cadres, est chargé d'acheminer sur le plateau les hommes du camp de Gaby (qui deviendra la section Hoche), du camp de Thorens (section Leclerc) et du camp de Manigod (section Lyautey).
Mais le 30 janvier, Jourdan apprend que tous les camps de Haute-Savoie doivent faire mouvement sur les Glières. A Thônes, le lieutenant Morel lui explique les raisons de ce revirement.
Les raisons sont claires. Des trains entiers de miliciens, de gardes mobiles et de G.M.R. arrivent de toutes parts. Devant leurs prochains assauts, les camps encore démunis d'armements sérieux, ne pourront tenir... Et les camps sont repérables par les traces que les déplacements des maquisards laissent dans la neige. Les camps doivent donc monter sur le plateau.
Autre solution ? Le repli des camps dans les villages ? Mais c'eut été condamner la population locale aux représailles. La proclamation de l'état de siège, affichée sur tous les murs, les annonce.
Non, il n'y a pas le choix des solutions, il n'y en a qu'une, c'est ce qui apparaît à l'état-major de la Résistance qui se réunit à Annecy chez le préfet révoqué Perriès.Il y a là Humbert Clair (Navant), successeur de Romans-Petit, Jean Rosenthal (Cantinier) et Guidollet (Ostier) venu de Lyon et nouveau chef départemental des M.U.R.
L'accord n'a pas été donné sans discussion, chacun discernant les inconvénients d'un rassemblement qui viderait les secteurs des cadres de l'A.S. et immobiliserait des forces importantes, mais que faire d'autre ?
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Pourquoi le même point de vue est-il scandaleux lorsqu'il énoncé et dûment étayé par Barbier et passe pour anodin lorsqu'il est exprimé par un journaliste ancien résistant ?

Emmanuel

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