"Je n'avais personnellement qu'une sympathie très modérée pour Maurice Sarraut et aucune pour Jean Zay ou Mandel. Mais lorsqu'il devint évident qu'ils avaient été assassinés, j'ai dit à deux chefs de la Milice, dont l'un était Jean Bassompierre, qu'il s'agissait à la fois de crimes et de fautes politiques. (...) Maintenir l'ordre, ce n'était pas tuer."- Alain Guérin, Chronique de la Résistance, mentionne que "de source sûre" qu'Otto Abetz sollicita de Hitler l'autorisation de faire assassiner Georges Mandel et qu'il prévoyait de faire subir le même sort à Léon Blum, à Paul Reynaud...
"Ne pas agir dans l'affaire d'hier aurait eu pour conséquence de nous faire perdre entièrement la confiance des SS."Bien cordialement,
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contribution.php bidouillé par Jacques Ghémard le 8 9 2010 Hébergé par PHP-Net Temps entre début et fin du script : 0.01 s  5 requêtes