"Les Aubrac, que je sache, n'ont pas perdu leur statut. Quand Raymond est mort, combien d'articles y-a-t-il eu pour célébrer sa mémoire ? Ceux qui ont évoqué les doutes à son propos ont été beaucoup plus rares me semble-t-il."
ils étaient la coqueluche des médias avant l'intervention de Chauvy et l'appui que lui a donné Cordier, surtout au début. Depuis, calme plat et interventions ignobles
-de Pujadas (et de son collaborateur Wolfromm) le soir la mort de Lucie
;
-de Courtois, surtout, dès l'annonce de celle de Raymond
.
J'ai certes obtenu vite de l'honnête Merchet un droit de réponse réparateur mais d'une part il s'était bien fait avoir, d'autre part les commentaires, et la diffusion sur la Toile des insanités discourtoises, encore aujourd'hui, prouvent l'enracinement de la propension à dire n'importe quoi de négatif sur l'un et l'autre résistant... fruit en ligne directe, pour en revenir à notre point de départ, des premières calomnies de Vergès.