n'est pas sur le même plan que mon post précédent : c'est une mise en cause générale de ma démarche, comme pour contourner la question du jour.
Vous êtes dans la spéculation pure quand vous affirmez, après avoir déformé dans votre souvenir le livre de Péan, que si l'interrogateur anglais remarque que Lucie n'a pas abordé une question, c'est que nécessairement elle l'avait abordée avant, sans quoi ce serait délirant de sa part (à lui, l'interrogateur).
C'est non seulement asséné sans preuve, mais bien improbable : la logique voudrait qu'il cite cette autre occurrence, et relève une contradiction ou une incohérence chez le sujet interrogé. Sa formulation est très cohérente, au contraire, avec une information venue d'ailleurs et non confirmée par le sujet.
Je ne peux que répéter : ma pierre à l'édifice a consisté essentiellement à prendre Chauvy ligne à ligne et à montrer que les contradictions dont il faisait des montagnes n'en étaient pas (quand justement, très souvent, il confronte le dire de l'un ou l'autre Aubrac à n'importe quelle source externe, souvent très polluée), soient s'expliquaient très bien, soit étaient minimes, soit ne prouvaient rien du tout. J'y suis parvenu dans la totalité des cas et on a préféré le taire plutôt que de le nier, jusqu'à ce jour.
Sur les questions que vous soulevez et que Chauvy n'aborde pas, je n'ai hélas pas eu l'occasion d'interroger les "sujets", et vous renvoie à ceux qui éventuellement l'auraient fait. |