... et je n'ai donc pas à excuser l'attitude de Thorez.
Par contre, on peut tout simplement constater que la responsabilité individuelle de Thorez tient dans son engagement dans un poste de dirigeant du Parti français et que la désertion est une affaire de responsabilité collective.
Tous les dirigeants communistes de l'époque ont à assumer l'attitude du Parti en 1939-40, comme ils assument celle de 1938 ou de 1941.