... tout à fait cette analyse, mais trouve intéressante la réaction de la vieille militante.
Le grand écart est en fait intenable, et on est bien obligé de lâcher quelque chose, soit du côté du patriotisme de parti, soit de celui du patriotisme tout court. Le paradoxe suprême est qu'on est embrigadé dans une structure qui se fait gloire et fonction d'être disciplinée, mais réduit à s'arranger comme on peut avec soi-même.
Mais la clé est, encore et toujours, Hitler !
Le diable qui oblige (quasiment) à se renier, c'est lui.
Il connaissait diablement bien l'échiquier politique, de ce côté comme des autres. |