C'est quand même incroyable !
Les sempiternelles mêmes affirmations reviennent encore une fois, dont par exemple celle ci : "
Est-il vrai que l'article 122-2 du code pénal stiple : "N'est pas responsable d'un crime la personne qui a agi sous la contrainte d'une force à laquelle elle n'a pu se soustraire " ?
Mais oui, Monsieur Boisbouvier, pour la 3e fois, je vous dis que ce texte existe mais qu'il s'applique à une menace immédiate comme une arme pointée vers l'auteur du crime et en aucun cas à des personnes qui ont la possibilité de s'enfuir.
Relisez mes réponses
et
et essayez de les incorporer dans votre raisonnement, tout comme les autres multiples réponses qui vous ont été faites.
Donc à la question "
Est-il vrai, oui ou non, que la présence à Paris du MBF, d'abord, et du haut commandement SS, ensuite, constituaient cette force et cette contrainte ?" je réponds encore une fois non, chaque fonctionnaire de Vichy, pouvait démissionner, s'enfuir, et risquer un peu sa vie ce qui ne semble pas anormal dans un pays en guerre.
Pour interpréter cet article 122-2 à votre manière, il aurait donc fallu que vous trouviez des cas d'applications qui aillent dans votre sens. Vous n'en trouvez pas et donc vous ignorez les cas contraires...
Ici, je vous le répète aussi, nous cherchons en permanence à faire évoluer notre pensée, qui s'enrichit par nos lectures et par les apports de chaque participants. Vos idées, vos théories, auraient pu faire évoluer les nôtres, parce qu'après tout rien n'est jamais complètement établi. Mais en revenant ainsi en permanence à votre point de départ, vous bloquez toute évolution possible vers un compromis. Vous mettez en évidence une interprétation obsessionnelle étanche à toute contre argumentation, et ceci ne peut conduire qu'à son rejet par ceux qui ne partage pas vos idées à priori.
Bref vous ne pouvez pas continuer ainsi à abuser de la possibilité qui vous est donnée de vous exprimer, en transformant un espace de discussion en espace de propagande autiste et paranoïaque. La liberté implique le respect des autres et je n'ai pas le sentiment que vous respectez ceux dont vous ignorez les arguments.
Je suppose que vous allez penser que nous ignorons les vôtres et que ce que je dis peut se retourner contre moi. Dans ce cas, c'est que vous n'auriez pas compris que si vous avez pu présenter ici vos idées, c'est grâce à ceux qui vous ont laissé le faire, patiemment, et qui ont cherché, dans la mesure de leurs moyens, les éléments qui conforteraient la thèse et l'antithèse.