On trouve une trace de ça quelque part ?
Une trace en effet !
Des quatre assaillants boum-boum de la table ronde, Cordier est le premier qui se soit exprimé publiquement, en mettant en cause de coupables dissimulations aubraciennes, sur les "zones d'ombre", et il est resté jusqu'au bout le plus affirmatif. Or depuis dix ans déjà il se faisait fort de sortir "un jour" des archives sur les derniers temps de la vie de Jean Moulin, en justifiant ce délai par le fait que sa bio dudit Moulin devait faire 6 volumes (elle a tourné court au troisième).
Personne n'avait osé lui dire : "Les archives on les montre, ou on n'en fait pas état."
Du coup, son insistance sur les "zones d'ombre" (dont on trouve un florilège dans les posts ci-contre de Serge Desbois) a inspiré aux autres mousquetaires un respect palpable. |