Nous en avions déjà débattu, puisque ce document repasse souvent en boucle à la télé française. Rien que le titre annonce clairement son intention de dénigrement: la face cachée des libérateurs!
A comparer, les 17000 viols (de 1942 à 1945!) avec le nombre de soldats engagés, et le nombre de morts.
De plus, et de nombreux vétérans français engagés en Normandie et dans l'Est de la France en ont attesté, les violeurs étaient quasiment TOUJOURS des soldats noirs, non combattants, employés dans les services. Ils étaient néammoins armés, et dés la Normandie, le soir, aprés le boulot, ils allaient à la chasse aux filles, selon un processus régulier: prise d'assaut d'une maison, les hommes enfermés à la cave, et les femmes violées.
Ce film même n'en fait pas mystère: il suffit d'écouter les témoignages des vieilles dames actuelles, victimes des viols à l'époque. C'étaient toujours des noirs. Ah, non, en Lorraine, il y eut un indien navajo, qui, constrarié de voir que la fille qu'il convoitait avait ses règles, l'a abattue immédiatement, avant de passer à la suivante.
On aurait aimé que les auteurs de ce document nous montrent seulement les photos des violeurs. Ca aurait donné un éclairage tout à fait différent à cette enquête, visiblement partiale et partielle.
Les G.Is américains, combattants et blancs, auraient vraiment été pervers, de chercher à prendre de force ce qu'on leur accordait volontairement.
L'armée allemande ayant laissé en France 200.000 bébés germano français en 4 ans, on se demande pour quelles obscures raisons il y aurait eu une "réticence" à l'égard des Américains.
Mais bon, ce documentaire revenant régulièrement à la télé, nous aurons encore l'occasion d'en reparler... au prochain passage? |