Il y a dans vos commentaires, messieurs, du vrai sans doute, mais de l'excès sûrement.
Je lis p. 155 du livre homonyme dont le film est inspiré que les archives utilisées témoignent d'une proportion de 19% de violeurs blancs, soit 22 en chiffres absolus, ce qui est loin du "aucun" arcoléen.
A partir de là il faut faire la part du racisme, l'américain qui faisait recevoir plus volontiers les plaintes contre les noirs, le français qui peut-être rendait ces plaintes plus nombreuses et plus fermes.
Il est d'autre part bien cavalier de présenter l'ensemble de nos jeunes compatriotes comme des Mary couche-toi-là, pourvu que la bouche invitante fût entourée d'un visage pâle. |