Je vais bien me garder de tomber, comme tu me le conseilles si gentiment (à cet égard, je te prie de ne pas passer bêtement, et soudainement, du tutoiement au vouvoiement ; c'est ridicule.), dans l'excès regrettable qui a été celui, sur cette affaire du Dauphiné libéré, de [mes] contradicteurs, dont [t]oi-même. Je n'accuse pas François de falsification, mon message était, volontairement, un peu provocateur. Je pense simplement que François, comme souvent, s'est laissé emporté, n'a pas été jusqu'au bout de ses investigations, et a été berné par une documentaliste qui, si elle travaille très tard - ce qui est bien, il faut mettre le travail au centre du débat politique - n'en est pas moins tout à fait incompétente.
Maintenant, sur le fond, je voudrais tout de même que François reconnaisse ici, et une fois pour toute, que cette brave Lucie, qui n'en était pas à une contradiction près, a bien blanchi définitivement par cet interview, ce pauvre René Hardi, après l'avoir trainé dans la boue pendant plus de 55 ans. C'est tout, c'est clair, c'est limpide.
Bien sûr, je sais que ni François, ni toi n'admettrez avoir tort, donc je pense ce débat inutile et stérile, voire ridicule.
Voili, voilou...
JRG |