Bonjour,
En effet, les exemples de « fraternisation » avec des prisonniers allemands sont rares.
Cependant, on peut citer ces blessés légers soignés à l’hôpital de campagne Spears, et qui y restèrent entièrement libres jusqu’à la fin de la guerre, en y rendant toutes sortes de services.
Plus comique, ces prisonniers des gaullistes du Special Detachment en Tunisie, qui « gardaient » le camp de base en l’absence de leurs ennemis geôliers, partis semer le feu et le désordre dans les lignes allemandes. Quand des Britanniques atteignirent l’avant-poste français et y découvrirent des hommes de l’Afrika Korp, ils se rendirent…… aux captifs des Français. Ceux-ci furent sévèrement sermonné quand tout rentrât dans l’ordre.
Cordialement
Laurent |