Ô tempora, Ô mores.
Je vous crois sans peine. J'ai quant à moi constaté qu'après la période de "drill" et plusieurs mois de travail, la plupart des officiers gratifiaient d'une solide poignée de main les "sous-hommes" que nous étions, bien sûr "à l'issue" du salut réglementaire. Quitte pour certains St-cyriens à retirer leur gant. Je conviens cependant que cela ne devait pas, même ces dernières années, correspondre à la norme en vigueur.
Quant aux motifs dignes d'anthologie, ils ne sont qu'un lointain souvenir, étant aujourd'hui dûment catalogués et consignés. Jean-Charles ne pourrait pas en récolter de nouveaux comme celui-ci: "A fait pénétrer une femme dans le casernement par une ouverture prohibée." (Commandos de France 1945) ou celui-là " A tenu des propos irrévérencieux au sujet de certaines parties charnues du mal des logis x et sur l'absence présumée de certaines autres parties de ce même sous-officier"
Plus ou moins séant en fonction des interprétations: " A par inadvertance cassé le pot du colonel" (11e cuirassiers, Orange, années 60) |