Les sexologues ont souvent observé qu'une sexualité débridée se manifeste chez tout mammifère qui se sent en péril de mort, et plus particulièrement chez l'être humain. C'est une sorte de réflexe conditionné, pour tenter de se survivre. Il doit s'en passer de belles dans les minutes qui précèdent l'écrasement d'un avion ou le naufrage d'un bateau. Les soldats des unités combattantes sont évidemment dans cet état d'esprit, et "tirent sur tout ce qui bouge", de la même façon. C'est la raison pour laquelle on peut penser que la majorité des viols est perpétrée par les combattants de choc, dés qu'ils en ont l'opportunité.
Ils ont vu mourir leurs copains, ont survécu, et ne sont pas certains de leur chance pour l'heure suivante.
Ajoutons à cela les substances diverses distribuées à la troupe avant un assaut, de la gnole usuelle jusqu'à de mystérieuses pillules de nature indéterminée...
Les troupes de l'arrière, services, etc... ne sont pas pour autant plus innocentes; mais elles n'ont pas, elles l'excuse de l'état second du péril imminent. Ce sont au contraire des délinquants ordinaires, agissant avec préméditation. |