Eh bien, Laurent, je ne comprends pas. Le passage que vous citez ne mentionne pas du tout le fait que l'équipage se soit volatilisé avant l'attaque de la chasse française. Que le pilote ait abandonné l'appareil c'est une chose (ou qu'il l'ait abandonné un peu trop précipitamment, comme beaucoup l'ont fait sans être pour autant italiens), qu'ils aient décidé de s'offrir un joli saut sans aucun risque, cela en est une autre. Enfin, ma réponse un peu bourrue n'est pas signe de perte de sang froid, mais de passion :-) |