Bonsoir,
Je m'adresse plus particulièrement aux spécialistes de l'histoire militaire de la WW2 :
Peut-on affirmer, comme le disent certains mémorialistes qui soulignent la rareté des faits durant la Seconde guerre mondiale, qu'un Rommel en Afrique et un Bittrich à Arnhem (pourtant nazi enthousiaste juqu'en juin 44) se sont comportés de façon "korrect" dans le traitement des prisonniers alliés et des blessés, c'est-à-dire en respectant les lois de la guerre (convention de Genève)?
Est-ce la légende héroïque ou une réalité ?
Dans les deux cas, les combats furent âpres et sanglants, mais les combattants survivants ne mentionnent pas d'actes inhumains, même chez les Waffen SS de Bittrich - une notion bien sûr relative dans la guerre industrielle...
Est-ce exact ou faut-il nuancer ?
Merci.
RC |