Bonjour,
Dans ma grande naïveté, pas toujours feinte, je partage bien modestement une opinion de Daniel Cordier qui avouait:
***** Ni plus ni moins que tout autre résistant, je ne détenais la vérité sur cette affaire (...). Il fallait avant tout que je m'informe. Durant des mois, je lus et relus des témoignages qui, je l'avoue, obscurcirent mon jugement plus qu'il ne l'éclairèrent. Si bien que j'étais persuadé, le matin, de l'innocence de Hardy tandis que, le soir, sa culpabilité m'apparaissait évidente! A mesure que j'avançais dans le dépouillement des dossiers, j'étais empêtré dans la masse des témoignages, dont l'éloquence convaincante emportait, tour à tour, mon adhésion. *****
Bien cordialement,
Francis. |