Analyse partagée mais son développement n'est pas simple de Etienne Lorenceau le dimanche 18 janvier 2015 à 01h50
car la pensée comme l'ambition (ou l'analyse) suivent un procédé évolutif
C'est vrai notamment pour schellenberg qui a eu une grande influence sur himmler qui était un grand parano mais un vrai salopard amputé de la conscience.
Schellenberg est passé d'agent provocateur qui faisait semblant d'offrir hitler en sacrifice à une paix avec l'Ouest et qui faisait semblant de ne faire que du contre esspionnage pendant qu'il concevait et organisait les Einsatzgruppen, faisait semblant de n'avoir rien à faire avec les Juifs alors qu'il participait à l'abandon du plan Madagascar pour la solution finale afin d'avoir une monnaie d'échange abominable pour sa paix à l'ouest (afin de pouvoir en utiliser le potentiel économique pour gagner à l'Est) puisqu'en nazi discrètement acharné, il était convaincu que les Juifs faisaient -en sous main- la loi en Angleterre et aux Etats Unis.
Donc il deviendra comme himmler, progressivement prêt sans prendre de risques et en croyant plus ou moins à ses propres mensonges de provocateur, à croire himmler et lui même éligibles à de haute fonctions.
Le problème des historiens analystes est que ces périodes se chevauchent dans la psychologie de ces abominables personnages.... eet himmler est moins coupable que schellenberg parce qu'au moins il a la gueule de l'emploi alors que le charme de schellenberg endort les historiens jusqu'à aujourd'hui.