Bonsoir,
...cet autodidacte voulait qu'ici comme ailleurs (et grâce à "ses" documents), les historiens FASSENT LEUR TRAVAIL ! écrit Luc Nemeth
Cet appel, lancé comme un défi, se comprend mieux lorsque l'on prend connaissance des réactions d'historiens tel que le relate Sonia Combe dans l'extrait déjà cité plus haut :
- Cette universitaire qui lui lance à la figure : "Cela ne m'intéresse pas de voir des archives obtenues illégalement".
- Dans cette "affaire", les historiens sont résolument du côté du gendarme, écrit Sonia Combe.
- "C'est tout simplement grave et délictueux" lance Denis Peschanski.
Je ne m'explique pas ces virulents reproches d'historiens à l'encontre d'un homme à la recherche de documents pouvant éclairer un passé " qui ne passe pas". Ostracisme des historiens ? Ou
la colère, d'historiens qui dénoncent ce détournement de documents et réclament l' "application de la loi" ?
Ces historiens ont-ils exploités ces 12.000 documents des Archives Départementales comme le souhaite Kurt Schaechter ?
Bien cordialement,
Francis.
PS. Dans le même ordre d'idées, dans la Revue électronique du Centre d'Histoire de Sciences Po, Jean-Marc Berlière publie un long article intitulé :
Archives «interdites», archives «spéciales» ? Quelques réflexions à propos des archives policières... :