universitaires de bataille le samedi 21 septembre 2013 à 10h01
Pour répondre à votre interrogation sur l'attitude des historiens et pour travailler dans une université, je pense qu'ils ne supportent pas que l'on fasse avancer la recherche historique sans leur accord. On retrouve la même attitude chez les gens du renseignement qui font la différence entre "l'information" qui est quelque chose de brut et qui vient des amateurs et "le renseignement" qui vient de professionnels, alors que ces mots ont la même définition.