"Vous avez d'ailleurs écrit une chose qu'il convient de nuancer. Que j'aurais écrit un livre sur les Aubrac. En fait, mon livre [] est une réplique point par point aux arguments de Chauvy. Loin d'être une histoire sainte comme l'ont dit de rares malveillants (le silence ayant plutôt été la règle), il n'élude strictement aucun des points que le relais lyonnais de Vergès estimait scabreux."
Sait-on jamais : comme vos interventions semblent indiquer que vous n'avez pas ouvert ce livre, je ne vais pas vous en faire un grief personnel. En échange, il serait bon que vous retourniez vos reproches contre toutes les personnes qui avant vous et après octobre 1997 (date de sa parution) ont discouru de l'affaire, en public ou en privé, en vous cachant son existence alors qu'ils la connaissaient, ou vous ont fait croire que sa lecture ne serait qu'une perte de temps.