Destiné à paralyser le gare de Perrache, les Liberators et B 17 arrosèrent en altitude tout le quartier de la gare et aussi les quartiers environnants.
C’est donc un pur hasard si les bombes tombèrent sur un des immeubles de l’École de Santé Militaire, celui des cadres occupants, épargnant les autres immeubles appartenant à l’école.
Je suis rentré dans cette école en 1952 et il n’y avait aucune trace d’éclats sur les murs mais bien sûr celui des immeubles qui avait été touché, fut abattu et remplacé par une palissade en bois.
Barbie a dit que des sbires du Sicherheitsdienst appelé usuellement Gestapo avaient été tués. Barbie était en déplacement pour environ 4 mois à Paris mais il semblerait qu’il n’était pas auparavant dans cet immeuble détruit mais dans celui qui était au nord au rez-de- chaussée qui lui était intact.
Je conseille à Jean Richard de déposer ses précieuses Photos au Service Historique de la ville de Lyon et encore mieux au centre historique de la Résistance qui est situé dans cette ancienne école 14 avenue Berthelot ( La nouvelle est à Bron )