Donc la question qui se pose aujourd'hui est la suivante: doit accorder un crédit à ces témoins mentionnés ci-dessus ou à des historiens contemporains ?

me serais-je mal fait comprendre ? En tout cas vous en rajoutez dans la logique boisbouvière !

L'historien, s'il est digne de ce titre, ne fait crédit à personne. Il examine tous les discours en les replaçant dans leur contexte, pour cerner ce que les locuteurs veulent obtenir.

Je me permettrai en sus de rappeler ce bon vieux la Fontaine, selon qui les flatteurs vivent aux dépens de ceux qui les écoutent.