Ma question était simple et ouverte : pourquoi un aspect de l'histoire serait meilleur qu'un autre ?
Je l'ai tirée de constats personnels évidents et d'une ampleur sans mesure.
Vous n'y répondez pas, vous contentant sous le fumigène d'une réécriture de votre opinion (alors que j'avais pris la peine de vous citer in extenso) d'un repli stratégique façon "défense élastique version 44".
J'avais bien compris ce que vous écriviez et la question demeure donc posée...
Et vous y ajoutez une "feinte" sur les ouvrages pseudo-novateurs, certaions très récents, mais qui n'en sont pas réellement puisque JUSTEMENT, ils nous ressortent les fadaises bidons piquées par les historiens des années 50-60 parfois directement et sans l'ombre d'un état d'âme à la propagande de guerre Alliée ou allemande...
Ensuite, je ne pense pas que les "tensions idéologiques" soient aussi fortes aujourd'hui que dans les années 50-70, cela ne fait pas l'ombre d'un doute pour qui cesse de fermer les yeux pour s'inventer des marxistes partout... Il suffit de critiquer le trotskisme ou le capitalisme en fac' (et de comparer avec la possibilité de critiques dans les années 60-70) pour se rendre compte que les crispations virulentes ont largement disparu sur les idéologies...
Enfin, c'est sûr que d'insister sur la "nazification" assumée de la Wehrmacht et ses crimes de guerre récurrents (qui n'ont d'ailleurs pas nécessairement de liens avec ladite nazification) comme l'a fait l'excellent documentaire diffusé sur Arte et qui ne vous a pas plu (oserais-je dire que cela ne m'étonne pas ?), c'est plus novateur que les fadaises du genre "si Hitler nous avait laissé faire on aurait gagné - je ne savais rien des camps - seuls les SS ont commis des crimes de guerre..." que l'on ressasse jusqu'à l'écoeurement dans les premiers travaux historiques desdites années 50-60...
Cordialement,
CM |