Cher GP, il ne faut pas prendre la mouche ainsi.
Ni hiérachiser l'intérêt des questions historiques, quand elles portent sur des domaines absolument différents.
La fin, à ce jour mystérieuse, de Himmler, n'a guère en commun avec celle, limpide, de Sikorski, que son caractère non naturel.
L'une présente deux aspects propres à susciter une vive et salubre curiosité : 1) L'évolution du comportement du gouvernement Churchill envers les dirigeants nazis à la fin de la guerre et avant que le gouvernement Attlee ne se rallie pleinement à l'idée de les juger à Nuremberg; 2) L'archivage des secrets d'Etat, les délais de leur communication, les fraudes éventuelles qui peuvent l'entacher.
Les interrogations sur la mort de Sikorski ne présentent, tellement le dossier historique est clair, d'intérêt que pour la connaissance de la période post-communiste dans l'ancien bloc soviétique.
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