Pour ma part, j’en resterai là.

Jacques Baynac
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... de vous répondre tant qu'on vous a, malgré ma non-lecture du livre que vous attaquez. Mais à chacun ses limites et nous en sommes pas dans un jury de travaux universitaires, qui a d'ailleurs toujours du mérite, avouons-le, s'il lit TOUT ce dont il parle, et cela risque de ne pas s'arranger avec le départ en retraite non remplacé d'un membre sur deux.

On peut critiquer vos posts eux-mêmes, par rapport au débat, et c'est ce que je tente de faire.

Vous reconnaissez à Thomas un mérite et un seul, celui de la découverte des archives du chef du réseau Carte, mais il y a déjà un moment que vous ne l'avez plus fait. Or en tant qu'auteur d'un ouvrage portant en partie sur la même question, ce qui intéresserait de votre part c'est une revue des points sur lesquels cet apport enrichit ou modifie votre propre vision. Las, vous êtes un intégriste de votre travail, et même des précédents, dans lesquels il vous arriva certes de reconnaître des insuffisances, mais pas ici ou du moins pas récemment. Vous exhibez sans fin votre carte de visite d'"auteur indépendant qui, lui, va aux archives". Et sa protection semble s'étendre, puisque vous ne me répondez rien, à des cas où vous n'excipez pas d'une archive, mais d'un reportage très postérieur aux faits. Ainsi lorsque vous tirez monts et merveilles d'un entrefilet d'un journal unique sur un unique lycée où une résistante conférait, pour prétendre qu'un fragment de propos très général sur un camarade vaut approbation de tout ce qu'il a fait et reniement solennel de ce qu'elle avait toujours dit.

Or, que vous le vouliez ou non, vous êtes sur un forum qui a le mérite de conserver ses archives et tout le monde peut vérifier en quelques clics ce que je viens d'écrire.

Et finalement vous traitez Rabino de la même façon : loin de concentrer le débat sur les écrits survivants des années noires, vous arguez essentiellement (et dans votre dernier post, uniquement) des insuffisances réelles ou supposées d'un écrit de 2008.

Ne voyez-vous pas qu'en rompant ainsi et publiquement le débat vous gâtez le fruit de votre courage de découvreur ?