Dans le cas de l'armée française giraudiste, toutes origines confondues, il ne s'agit pas de volontariat, mais d'une mobilisation, ce qui explique la différence d'importance quant aux effectifs.
Certaines scènes du film "le grand carnaval" sont explicites à ce sujet. C'est la gendarmerie qui regroupait les recrues.
En revanche, il ne s'agissait que d'engagés volontaires, pour la brigade nord africaine qui opéra dans le Sud Ouest de la France, et pour la Phalange Africaine, qui opéra en Tunisie. |