Celui qui a décider de creuser des fossés non pas antichar mais anti humidité dans ce petit coin de la Beauce, était peut être un agronome anti nazi francophile.

Je ne veux rien vous faire dire mais juste montrer par une comparaison que j'espérais choquante, que des aspects positifs ne suffisent pas.

L'économie de l'algérie a sans doute été améliorée mais pour celui qui restait malgré tout à un stade d'évolution très primitif cela ne changeait rien. Ou plutôt "au contraire" puisque la misère de sa condition n'était que plus évidente.

Barberot parle de condition de vie similaire à celle des indiens de la cordilière des Andes. (je ne sais plus où, j'ai preté mon bouquin)

Bref, comment ces progrès indéniables ont-ils été mis au service de tous en Algérie ?

Amicalement
Jacques