Les Nazis, selon un historien ou prétendu tel, Rainer Karlsch, ont été proches de découvrir la bombe atomique (A) dans les quelques mois qui ont précédé le 6 mai 1945.
Il ajoute comme preuve une curieuse expérience faîte le 3 ou 4 mars 1945 au sud de Berlin au camp de Ohrdurf où 7 prisonniers russes ont péri et un seul a survécu, un nommé Oleg brûlé sur une partie de son corps
Un journaliste italien envoyé par Mussolini, a dit qu’une étrange explosion expérimentale avait eu lieu sur l’île de Rügen sur la Baltique.
Les travaux du physicien Werner Husenberg à Leipsig puis à Berlin, à l’Institut Kaiser Wilhelm était bien avancé dit-on.
Hitler lui-même a parlé de bombe atomique à Antonescu, chef de l’État roumain en août 1944.
Il y a dans les derniers mois de la guerre tout une « aura popularis (c’est dans le dictionnaire) chez les plus durs des Nazis et aussi certains Français comme Déat, JH Paquis, Doriot et quelques autres incorrigibles de la collaboration, qui pensent que l’Allemagne ne peut pas perdre et que, bien-sûr, Hitler dans un sursaut va exterminer les Alliés, certes on ne sait pas comment.
Or la plupart des physiciens du monde entier savait bien avant 1945 comment faire une bombe atomique, y compris les Français ( Joliot-Curie, Halban, Kowarsky et d’autres). Il n’y avait pas que le Pr. Husenberg.
Pour faire une seule bombe atomique, pour atteindre la masse critique, il faut 50 Kg d’uranium enrichi ou 10 kg de plutonium minimum pour 1 bombe. Or les Allemands n’en avaient que quelques grammes comme certains labos dans le monde. Et il leur fallait des années pour atteindre ce potentiel comme les autres.
Pour obtenir ces Kg d’uranium enrichi, il a fallu qu’aux U.S.A pendant 2 ans travaillent 15 000 ouvriers et ingénieurs de 1943 à 1945. Il faut des installations considérables. Personne n’a trouvé de telles installations en Allemagne en mai 1945.
Certes dans les années qui ont suivi, les procédés qui ont permis de fabriquer de l’uranium enrichi ont été améliorés et donc le personnel fut beaucoup moins nombreux, comme en France ou il se chiffre tout de même par milliers dans plusieurs installations.
L’Institut allemand en 1945 n’avait que 200 techniciens et ne pouvait rien faire avec ces quelques grammes même s’ils avaient été un millier.
Ceci n’empêche pas les ingénieurs américains de se féliciter que les ingénieurs allemands n’aient pas cherché à avoir la bombe pour empêcher Hitler de nuire. Paroles en l’air.
Le mythe de Hitler victorieux, pas mort. Les collabos Français les plus incorrigibles comme Déat et Paquis ont cru à l’invincibilité de Hitler jusqu’en janvier ou févier 1945 et encore…
Certains Allemands étaient plus clairvoyants. Ainsi le 28 septembre 1944 s’est suicidé avec son épouse Joseh Burchkel gauleiter du West Mark (c’est à dire Palatinat, Sarre, Moselle) dans sa capitale Neustadt où il avait accueilli son ami Doriot, parce que les Alliés venaient d’atteindre Metz |